Great Britain
Justification I
Encore sans succès je suis en quête du côde
Qui me permettrait de renoncer aux habitudes.
Du fait, j’essaie de penser à ce moment
où la bête blaissée pourrait se taire.
Non longtemps après, je retourne aux espaces du silence,
Où commence vraiment mon renoncement à la statistique?
C’est, sûrement, le dernier matin d’octobre,
Anno domini 1995 lorsque j’écrivais des vers
C’est bien parfois d’arrêter les observations des aubes cosmiques
Pour abandonner doucement les événements dans l’exterieur quotidien
De tous les côtés m’entourent des murs transparents
Et il me semble que je peux sentir les odeurs des pièces sombres.
Cela fait longtemps que je désire ardemment des réveils sans passion
Lorsque je reste muet envers l’extérieur.
Je me suis rappelé un rêve de moi
(probablement à cause de l’évocation perpétuelle de la nuit)
dans lequel j’ai vu de quoi devraient avoir l’air mes vers).
C’était des lignes aux pages merveilleusement choisies
Sur la disparition d’un homme.
Ce que j’écris — n’est que des descriptions de la mort,
Et les mots que je trouve avec peine ne sont que
Des échos de la culpabilité et, je crains, rien de plus.
Traduction: Milan Barac
FRANCE
Justification I
Encore sans succès je suis en quête du côde
Qui me permettrait de renoncer aux habitudes.
Du fait, j’essaie de penser à ce moment
où la bête blaissée pourrait se taire.
Non longtemps après, je retourne aux espaces du silence,
Où commence vraiment mon renoncement à la statistique?
C’est, sûrement, le dernier matin d’octobre,
Anno domini 1995 lorsque j’écrivais des vers
C’est bien parfois d’arrêter les observations des aubes cosmiques
Pour abandonner doucement les événements dans l’exterieur quotidien
De tous les côtés m’entourent des murs transparents
Et il me semble que je peux sentir les odeurs des pièces sombres.
Cela fait longtemps que je désire ardemment des réveils sans passion
Lorsque je reste muet envers l’extérieur.
Je me suis rappelé un rêve de moi
(probablement à cause de l’évocation perpétuelle de la nuit)
dans lequel j’ai vu de quoi devraient avoir l’air mes vers).
C’était des lignes aux pages merveilleusement choisies
Sur la disparition d’un homme.
Ce que j’écris — n’est que des descriptions de la mort,
Et les mots que je trouve avec peine ne sont que
Des échos de la culpabilité et, je crains, rien de plus.
Traduction: Milan Barac
Germany
Justification I
Encore sans succès je suis en quête du côde
Qui me permettrait de renoncer aux habitudes.
Du fait, j’essaie de penser à ce moment
où la bête blaissée pourrait se taire.
Non longtemps après, je retourne aux espaces du silence,
Où commence vraiment mon renoncement à la statistique?
C’est, sûrement, le dernier matin d’octobre,
Anno domini 1995 lorsque j’écrivais des vers
C’est bien parfois d’arrêter les observations des aubes cosmiques
Pour abandonner doucement les événements dans l’exterieur quotidien
De tous les côtés m’entourent des murs transparents
Et il me semble que je peux sentir les odeurs des pièces sombres.
Cela fait longtemps que je désire ardemment des réveils sans passion
Lorsque je reste muet envers l’extérieur.
Je me suis rappelé un rêve de moi
(probablement à cause de l’évocation perpétuelle de la nuit)
dans lequel j’ai vu de quoi devraient avoir l’air mes vers).
C’était des lignes aux pages merveilleusement choisies
Sur la disparition d’un homme.
Ce que j’écris — n’est que des descriptions de la mort,
Et les mots que je trouve avec peine ne sont que
Des échos de la culpabilité et, je crains, rien de plus.
Traduction: Milan Barac
Italia
Justification I
Encore sans succès je suis en quête du côde
Qui me permettrait de renoncer aux habitudes.
Du fait, j’essaie de penser à ce moment
où la bête blaissée pourrait se taire.
Non longtemps après, je retourne aux espaces du silence,
Où commence vraiment mon renoncement à la statistique?
C’est, sûrement, le dernier matin d’octobre,
Anno domini 1995 lorsque j’écrivais des vers
C’est bien parfois d’arrêter les observations des aubes cosmiques
Pour abandonner doucement les événements dans l’exterieur quotidien
De tous les côtés m’entourent des murs transparents
Et il me semble que je peux sentir les odeurs des pièces sombres.
Cela fait longtemps que je désire ardemment des réveils sans passion
Lorsque je reste muet envers l’extérieur.
Je me suis rappelé un rêve de moi
(probablement à cause de l’évocation perpétuelle de la nuit)
dans lequel j’ai vu de quoi devraient avoir l’air mes vers).
C’était des lignes aux pages merveilleusement choisies
Sur la disparition d’un homme.
Ce que j’écris — n’est que des descriptions de la mort,
Et les mots que je trouve avec peine ne sont que
Des échos de la culpabilité et, je crains, rien de plus.
Traduction: Milan Barac
Albania
Justification I
Encore sans succès je suis en quête du côde
Qui me permettrait de renoncer aux habitudes.
Du fait, j’essaie de penser à ce moment
où la bête blaissée pourrait se taire.
Non longtemps après, je retourne aux espaces du silence,
Où commence vraiment mon renoncement à la statistique?
C’est, sûrement, le dernier matin d’octobre,
Anno domini 1995 lorsque j’écrivais des vers
C’est bien parfois d’arrêter les observations des aubes cosmiques
Pour abandonner doucement les événements dans l’exterieur quotidien
De tous les côtés m’entourent des murs transparents
Et il me semble que je peux sentir les odeurs des pièces sombres.
Cela fait longtemps que je désire ardemment des réveils sans passion
Lorsque je reste muet envers l’extérieur.
Je me suis rappelé un rêve de moi
(probablement à cause de l’évocation perpétuelle de la nuit)
dans lequel j’ai vu de quoi devraient avoir l’air mes vers).
C’était des lignes aux pages merveilleusement choisies
Sur la disparition d’un homme.
Ce que j’écris — n’est que des descriptions de la mort,
Et les mots que je trouve avec peine ne sont que
Des échos de la culpabilité et, je crains, rien de plus.
Traduction: Milan Barac
Poland
Justification I
Encore sans succès je suis en quête du côde
Qui me permettrait de renoncer aux habitudes.
Du fait, j’essaie de penser à ce moment
où la bête blaissée pourrait se taire.
Non longtemps après, je retourne aux espaces du silence,
Où commence vraiment mon renoncement à la statistique?
C’est, sûrement, le dernier matin d’octobre,
Anno domini 1995 lorsque j’écrivais des vers
C’est bien parfois d’arrêter les observations des aubes cosmiques
Pour abandonner doucement les événements dans l’exterieur quotidien
De tous les côtés m’entourent des murs transparents
Et il me semble que je peux sentir les odeurs des pièces sombres.
Cela fait longtemps que je désire ardemment des réveils sans passion
Lorsque je reste muet envers l’extérieur.
Je me suis rappelé un rêve de moi
(probablement à cause de l’évocation perpétuelle de la nuit)
dans lequel j’ai vu de quoi devraient avoir l’air mes vers).
C’était des lignes aux pages merveilleusement choisies
Sur la disparition d’un homme.
Ce que j’écris — n’est que des descriptions de la mort,
Et les mots que je trouve avec peine ne sont que
Des échos de la culpabilité et, je crains, rien de plus.
Traduction: Milan Barac
Russia
Justification I
Encore sans succès je suis en quête du côde
Qui me permettrait de renoncer aux habitudes.
Du fait, j’essaie de penser à ce moment
où la bête blaissée pourrait se taire.
Non longtemps après, je retourne aux espaces du silence,
Où commence vraiment mon renoncement à la statistique?
C’est, sûrement, le dernier matin d’octobre,
Anno domini 1995 lorsque j’écrivais des vers
C’est bien parfois d’arrêter les observations des aubes cosmiques
Pour abandonner doucement les événements dans l’exterieur quotidien
De tous les côtés m’entourent des murs transparents
Et il me semble que je peux sentir les odeurs des pièces sombres.
Cela fait longtemps que je désire ardemment des réveils sans passion
Lorsque je reste muet envers l’extérieur.
Je me suis rappelé un rêve de moi
(probablement à cause de l’évocation perpétuelle de la nuit)
dans lequel j’ai vu de quoi devraient avoir l’air mes vers).
C’était des lignes aux pages merveilleusement choisies
Sur la disparition d’un homme.
Ce que j’écris — n’est que des descriptions de la mort,
Et les mots que je trouve avec peine ne sont que
Des échos de la culpabilité et, je crains, rien de plus.
Traduction: Milan Barac
Slovakia
Justification I
Encore sans succès je suis en quête du côde
Qui me permettrait de renoncer aux habitudes.
Du fait, j’essaie de penser à ce moment
où la bête blaissée pourrait se taire.
Non longtemps après, je retourne aux espaces du silence,
Où commence vraiment mon renoncement à la statistique?
C’est, sûrement, le dernier matin d’octobre,
Anno domini 1995 lorsque j’écrivais des vers
C’est bien parfois d’arrêter les observations des aubes cosmiques
Pour abandonner doucement les événements dans l’exterieur quotidien
De tous les côtés m’entourent des murs transparents
Et il me semble que je peux sentir les odeurs des pièces sombres.
Cela fait longtemps que je désire ardemment des réveils sans passion
Lorsque je reste muet envers l’extérieur.
Je me suis rappelé un rêve de moi
(probablement à cause de l’évocation perpétuelle de la nuit)
dans lequel j’ai vu de quoi devraient avoir l’air mes vers).
C’était des lignes aux pages merveilleusement choisies
Sur la disparition d’un homme.
Ce que j’écris — n’est que des descriptions de la mort,
Et les mots que je trouve avec peine ne sont que
Des échos de la culpabilité et, je crains, rien de plus.
Traduction: Milan Barac
Sweden
Justification I
Encore sans succès je suis en quête du côde
Qui me permettrait de renoncer aux habitudes.
Du fait, j’essaie de penser à ce moment
où la bête blaissée pourrait se taire.
Non longtemps après, je retourne aux espaces du silence,
Où commence vraiment mon renoncement à la statistique?
C’est, sûrement, le dernier matin d’octobre,
Anno domini 1995 lorsque j’écrivais des vers
C’est bien parfois d’arrêter les observations des aubes cosmiques
Pour abandonner doucement les événements dans l’exterieur quotidien
De tous les côtés m’entourent des murs transparents
Et il me semble que je peux sentir les odeurs des pièces sombres.
Cela fait longtemps que je désire ardemment des réveils sans passion
Lorsque je reste muet envers l’extérieur.
Je me suis rappelé un rêve de moi
(probablement à cause de l’évocation perpétuelle de la nuit)
dans lequel j’ai vu de quoi devraient avoir l’air mes vers).
C’était des lignes aux pages merveilleusement choisies
Sur la disparition d’un homme.
Ce que j’écris — n’est que des descriptions de la mort,
Et les mots que je trouve avec peine ne sont que
Des échos de la culpabilité et, je crains, rien de plus.
Traduction: Milan Barac
Slovenija
Justification I
Encore sans succès je suis en quête du côde
Qui me permettrait de renoncer aux habitudes.
Du fait, j’essaie de penser à ce moment
où la bête blaissée pourrait se taire.
Non longtemps après, je retourne aux espaces du silence,
Où commence vraiment mon renoncement à la statistique?
C’est, sûrement, le dernier matin d’octobre,
Anno domini 1995 lorsque j’écrivais des vers
C’est bien parfois d’arrêter les observations des aubes cosmiques
Pour abandonner doucement les événements dans l’exterieur quotidien
De tous les côtés m’entourent des murs transparents
Et il me semble que je peux sentir les odeurs des pièces sombres.
Cela fait longtemps que je désire ardemment des réveils sans passion
Lorsque je reste muet envers l’extérieur.
Je me suis rappelé un rêve de moi
(probablement à cause de l’évocation perpétuelle de la nuit)
dans lequel j’ai vu de quoi devraient avoir l’air mes vers).
C’était des lignes aux pages merveilleusement choisies
Sur la disparition d’un homme.
Ce que j’écris — n’est que des descriptions de la mort,
Et les mots que je trouve avec peine ne sont que
Des échos de la culpabilité et, je crains, rien de plus.
Traduction: Milan Barac
North Macedonia
Justification I
Encore sans succès je suis en quête du côde
Qui me permettrait de renoncer aux habitudes.
Du fait, j’essaie de penser à ce moment
où la bête blaissée pourrait se taire.
Non longtemps après, je retourne aux espaces du silence,
Où commence vraiment mon renoncement à la statistique?
C’est, sûrement, le dernier matin d’octobre,
Anno domini 1995 lorsque j’écrivais des vers
C’est bien parfois d’arrêter les observations des aubes cosmiques
Pour abandonner doucement les événements dans l’exterieur quotidien
De tous les côtés m’entourent des murs transparents
Et il me semble que je peux sentir les odeurs des pièces sombres.
Cela fait longtemps que je désire ardemment des réveils sans passion
Lorsque je reste muet envers l’extérieur.
Je me suis rappelé un rêve de moi
(probablement à cause de l’évocation perpétuelle de la nuit)
dans lequel j’ai vu de quoi devraient avoir l’air mes vers).
C’était des lignes aux pages merveilleusement choisies
Sur la disparition d’un homme.
Ce que j’écris — n’est que des descriptions de la mort,
Et les mots que je trouve avec peine ne sont que
Des échos de la culpabilité et, je crains, rien de plus.
Traduction: Milan Barac