Great Britain
Des lieux ordinaires, des lieux sacrés
C’était le mois de juillet,
C’était une soirée qui ne m’était pas favorable.
Je travaillais sur quelques poèmes
En ne présumant pas que le contenu
Va vite changer.
Jamais contant de ce qui est fait
J’attendais le moment qui dépassera tout.
Tu ignorais que dans ma conscience
Nos certains moments communs
Etaient devenus mythiques.
J’ai entendu ton chuchotement,
Tu évoquais des moments que je méconnaissais.
J’ai laissé derrière moi l’anathème
De profiter de la vie tout seul.
Tout ce temps — voilà quelques mois —
Je cherche des mots pour t’envoûter.
Je t’aperçois aux lieux ordinaires,
Et tous ces lieux, je les ai transformés en lieux sacrés.
Si je n’avais pas voulu écrire
Si je n’avais pas vu la brume d’or devant mes yeux
Si je n’avais pas voulu noter ton nom dans mon calepin de rêves,
Je ne me serais jamais souvenu, peut-être, de cette nuit.
Comme l’on ne se souvient pas des parties du corps
Jusqu’à ce qu’on nous le rappelle par la douleur.
Je reconnais maintenant le moyen dont
Nous avons accompagné une soirée paisible
Les diverses lumières dansaient sur le boulevard.
C’était le mois de juillet,
C’était au moment où je me suis débarassé de l’anathème
De profiter de la vie tout seul.
Traduction: Milan Barac
FRANCE
Des lieux ordinaires, des lieux sacrés
C’était le mois de juillet,
C’était une soirée qui ne m’était pas favorable.
Je travaillais sur quelques poèmes
En ne présumant pas que le contenu
Va vite changer.
Jamais contant de ce qui est fait
J’attendais le moment qui dépassera tout.
Tu ignorais que dans ma conscience
Nos certains moments communs
Etaient devenus mythiques.
J’ai entendu ton chuchotement,
Tu évoquais des moments que je méconnaissais.
J’ai laissé derrière moi l’anathème
De profiter de la vie tout seul.
Tout ce temps — voilà quelques mois —
Je cherche des mots pour t’envoûter.
Je t’aperçois aux lieux ordinaires,
Et tous ces lieux, je les ai transformés en lieux sacrés.
Si je n’avais pas voulu écrire
Si je n’avais pas vu la brume d’or devant mes yeux
Si je n’avais pas voulu noter ton nom dans mon calepin de rêves,
Je ne me serais jamais souvenu, peut-être, de cette nuit.
Comme l’on ne se souvient pas des parties du corps
Jusqu’à ce qu’on nous le rappelle par la douleur.
Je reconnais maintenant le moyen dont
Nous avons accompagné une soirée paisible
Les diverses lumières dansaient sur le boulevard.
C’était le mois de juillet,
C’était au moment où je me suis débarassé de l’anathème
De profiter de la vie tout seul.
Traduction: Milan Barac
Germany
Des lieux ordinaires, des lieux sacrés
C’était le mois de juillet,
C’était une soirée qui ne m’était pas favorable.
Je travaillais sur quelques poèmes
En ne présumant pas que le contenu
Va vite changer.
Jamais contant de ce qui est fait
J’attendais le moment qui dépassera tout.
Tu ignorais que dans ma conscience
Nos certains moments communs
Etaient devenus mythiques.
J’ai entendu ton chuchotement,
Tu évoquais des moments que je méconnaissais.
J’ai laissé derrière moi l’anathème
De profiter de la vie tout seul.
Tout ce temps — voilà quelques mois —
Je cherche des mots pour t’envoûter.
Je t’aperçois aux lieux ordinaires,
Et tous ces lieux, je les ai transformés en lieux sacrés.
Si je n’avais pas voulu écrire
Si je n’avais pas vu la brume d’or devant mes yeux
Si je n’avais pas voulu noter ton nom dans mon calepin de rêves,
Je ne me serais jamais souvenu, peut-être, de cette nuit.
Comme l’on ne se souvient pas des parties du corps
Jusqu’à ce qu’on nous le rappelle par la douleur.
Je reconnais maintenant le moyen dont
Nous avons accompagné une soirée paisible
Les diverses lumières dansaient sur le boulevard.
C’était le mois de juillet,
C’était au moment où je me suis débarassé de l’anathème
De profiter de la vie tout seul.
Traduction: Milan Barac
Italia
Des lieux ordinaires, des lieux sacrés
C’était le mois de juillet,
C’était une soirée qui ne m’était pas favorable.
Je travaillais sur quelques poèmes
En ne présumant pas que le contenu
Va vite changer.
Jamais contant de ce qui est fait
J’attendais le moment qui dépassera tout.
Tu ignorais que dans ma conscience
Nos certains moments communs
Etaient devenus mythiques.
J’ai entendu ton chuchotement,
Tu évoquais des moments que je méconnaissais.
J’ai laissé derrière moi l’anathème
De profiter de la vie tout seul.
Tout ce temps — voilà quelques mois —
Je cherche des mots pour t’envoûter.
Je t’aperçois aux lieux ordinaires,
Et tous ces lieux, je les ai transformés en lieux sacrés.
Si je n’avais pas voulu écrire
Si je n’avais pas vu la brume d’or devant mes yeux
Si je n’avais pas voulu noter ton nom dans mon calepin de rêves,
Je ne me serais jamais souvenu, peut-être, de cette nuit.
Comme l’on ne se souvient pas des parties du corps
Jusqu’à ce qu’on nous le rappelle par la douleur.
Je reconnais maintenant le moyen dont
Nous avons accompagné une soirée paisible
Les diverses lumières dansaient sur le boulevard.
C’était le mois de juillet,
C’était au moment où je me suis débarassé de l’anathème
De profiter de la vie tout seul.
Traduction: Milan Barac
Albania
Des lieux ordinaires, des lieux sacrés
C’était le mois de juillet,
C’était une soirée qui ne m’était pas favorable.
Je travaillais sur quelques poèmes
En ne présumant pas que le contenu
Va vite changer.
Jamais contant de ce qui est fait
J’attendais le moment qui dépassera tout.
Tu ignorais que dans ma conscience
Nos certains moments communs
Etaient devenus mythiques.
J’ai entendu ton chuchotement,
Tu évoquais des moments que je méconnaissais.
J’ai laissé derrière moi l’anathème
De profiter de la vie tout seul.
Tout ce temps — voilà quelques mois —
Je cherche des mots pour t’envoûter.
Je t’aperçois aux lieux ordinaires,
Et tous ces lieux, je les ai transformés en lieux sacrés.
Si je n’avais pas voulu écrire
Si je n’avais pas vu la brume d’or devant mes yeux
Si je n’avais pas voulu noter ton nom dans mon calepin de rêves,
Je ne me serais jamais souvenu, peut-être, de cette nuit.
Comme l’on ne se souvient pas des parties du corps
Jusqu’à ce qu’on nous le rappelle par la douleur.
Je reconnais maintenant le moyen dont
Nous avons accompagné une soirée paisible
Les diverses lumières dansaient sur le boulevard.
C’était le mois de juillet,
C’était au moment où je me suis débarassé de l’anathème
De profiter de la vie tout seul.
Traduction: Milan Barac
Poland
Des lieux ordinaires, des lieux sacrés
C’était le mois de juillet,
C’était une soirée qui ne m’était pas favorable.
Je travaillais sur quelques poèmes
En ne présumant pas que le contenu
Va vite changer.
Jamais contant de ce qui est fait
J’attendais le moment qui dépassera tout.
Tu ignorais que dans ma conscience
Nos certains moments communs
Etaient devenus mythiques.
J’ai entendu ton chuchotement,
Tu évoquais des moments que je méconnaissais.
J’ai laissé derrière moi l’anathème
De profiter de la vie tout seul.
Tout ce temps — voilà quelques mois —
Je cherche des mots pour t’envoûter.
Je t’aperçois aux lieux ordinaires,
Et tous ces lieux, je les ai transformés en lieux sacrés.
Si je n’avais pas voulu écrire
Si je n’avais pas vu la brume d’or devant mes yeux
Si je n’avais pas voulu noter ton nom dans mon calepin de rêves,
Je ne me serais jamais souvenu, peut-être, de cette nuit.
Comme l’on ne se souvient pas des parties du corps
Jusqu’à ce qu’on nous le rappelle par la douleur.
Je reconnais maintenant le moyen dont
Nous avons accompagné une soirée paisible
Les diverses lumières dansaient sur le boulevard.
C’était le mois de juillet,
C’était au moment où je me suis débarassé de l’anathème
De profiter de la vie tout seul.
Traduction: Milan Barac
Russia
Des lieux ordinaires, des lieux sacrés
C’était le mois de juillet,
C’était une soirée qui ne m’était pas favorable.
Je travaillais sur quelques poèmes
En ne présumant pas que le contenu
Va vite changer.
Jamais contant de ce qui est fait
J’attendais le moment qui dépassera tout.
Tu ignorais que dans ma conscience
Nos certains moments communs
Etaient devenus mythiques.
J’ai entendu ton chuchotement,
Tu évoquais des moments que je méconnaissais.
J’ai laissé derrière moi l’anathème
De profiter de la vie tout seul.
Tout ce temps — voilà quelques mois —
Je cherche des mots pour t’envoûter.
Je t’aperçois aux lieux ordinaires,
Et tous ces lieux, je les ai transformés en lieux sacrés.
Si je n’avais pas voulu écrire
Si je n’avais pas vu la brume d’or devant mes yeux
Si je n’avais pas voulu noter ton nom dans mon calepin de rêves,
Je ne me serais jamais souvenu, peut-être, de cette nuit.
Comme l’on ne se souvient pas des parties du corps
Jusqu’à ce qu’on nous le rappelle par la douleur.
Je reconnais maintenant le moyen dont
Nous avons accompagné une soirée paisible
Les diverses lumières dansaient sur le boulevard.
C’était le mois de juillet,
C’était au moment où je me suis débarassé de l’anathème
De profiter de la vie tout seul.
Traduction: Milan Barac
Slovakia
Des lieux ordinaires, des lieux sacrés
C’était le mois de juillet,
C’était une soirée qui ne m’était pas favorable.
Je travaillais sur quelques poèmes
En ne présumant pas que le contenu
Va vite changer.
Jamais contant de ce qui est fait
J’attendais le moment qui dépassera tout.
Tu ignorais que dans ma conscience
Nos certains moments communs
Etaient devenus mythiques.
J’ai entendu ton chuchotement,
Tu évoquais des moments que je méconnaissais.
J’ai laissé derrière moi l’anathème
De profiter de la vie tout seul.
Tout ce temps — voilà quelques mois —
Je cherche des mots pour t’envoûter.
Je t’aperçois aux lieux ordinaires,
Et tous ces lieux, je les ai transformés en lieux sacrés.
Si je n’avais pas voulu écrire
Si je n’avais pas vu la brume d’or devant mes yeux
Si je n’avais pas voulu noter ton nom dans mon calepin de rêves,
Je ne me serais jamais souvenu, peut-être, de cette nuit.
Comme l’on ne se souvient pas des parties du corps
Jusqu’à ce qu’on nous le rappelle par la douleur.
Je reconnais maintenant le moyen dont
Nous avons accompagné une soirée paisible
Les diverses lumières dansaient sur le boulevard.
C’était le mois de juillet,
C’était au moment où je me suis débarassé de l’anathème
De profiter de la vie tout seul.
Traduction: Milan Barac
Sweden
Des lieux ordinaires, des lieux sacrés
C’était le mois de juillet,
C’était une soirée qui ne m’était pas favorable.
Je travaillais sur quelques poèmes
En ne présumant pas que le contenu
Va vite changer.
Jamais contant de ce qui est fait
J’attendais le moment qui dépassera tout.
Tu ignorais que dans ma conscience
Nos certains moments communs
Etaient devenus mythiques.
J’ai entendu ton chuchotement,
Tu évoquais des moments que je méconnaissais.
J’ai laissé derrière moi l’anathème
De profiter de la vie tout seul.
Tout ce temps — voilà quelques mois —
Je cherche des mots pour t’envoûter.
Je t’aperçois aux lieux ordinaires,
Et tous ces lieux, je les ai transformés en lieux sacrés.
Si je n’avais pas voulu écrire
Si je n’avais pas vu la brume d’or devant mes yeux
Si je n’avais pas voulu noter ton nom dans mon calepin de rêves,
Je ne me serais jamais souvenu, peut-être, de cette nuit.
Comme l’on ne se souvient pas des parties du corps
Jusqu’à ce qu’on nous le rappelle par la douleur.
Je reconnais maintenant le moyen dont
Nous avons accompagné une soirée paisible
Les diverses lumières dansaient sur le boulevard.
C’était le mois de juillet,
C’était au moment où je me suis débarassé de l’anathème
De profiter de la vie tout seul.
Traduction: Milan Barac
Slovenija
Des lieux ordinaires, des lieux sacrés
C’était le mois de juillet,
C’était une soirée qui ne m’était pas favorable.
Je travaillais sur quelques poèmes
En ne présumant pas que le contenu
Va vite changer.
Jamais contant de ce qui est fait
J’attendais le moment qui dépassera tout.
Tu ignorais que dans ma conscience
Nos certains moments communs
Etaient devenus mythiques.
J’ai entendu ton chuchotement,
Tu évoquais des moments que je méconnaissais.
J’ai laissé derrière moi l’anathème
De profiter de la vie tout seul.
Tout ce temps — voilà quelques mois —
Je cherche des mots pour t’envoûter.
Je t’aperçois aux lieux ordinaires,
Et tous ces lieux, je les ai transformés en lieux sacrés.
Si je n’avais pas voulu écrire
Si je n’avais pas vu la brume d’or devant mes yeux
Si je n’avais pas voulu noter ton nom dans mon calepin de rêves,
Je ne me serais jamais souvenu, peut-être, de cette nuit.
Comme l’on ne se souvient pas des parties du corps
Jusqu’à ce qu’on nous le rappelle par la douleur.
Je reconnais maintenant le moyen dont
Nous avons accompagné une soirée paisible
Les diverses lumières dansaient sur le boulevard.
C’était le mois de juillet,
C’était au moment où je me suis débarassé de l’anathème
De profiter de la vie tout seul.
Traduction: Milan Barac
North Macedonia
Des lieux ordinaires, des lieux sacrés
C’était le mois de juillet,
C’était une soirée qui ne m’était pas favorable.
Je travaillais sur quelques poèmes
En ne présumant pas que le contenu
Va vite changer.
Jamais contant de ce qui est fait
J’attendais le moment qui dépassera tout.
Tu ignorais que dans ma conscience
Nos certains moments communs
Etaient devenus mythiques.
J’ai entendu ton chuchotement,
Tu évoquais des moments que je méconnaissais.
J’ai laissé derrière moi l’anathème
De profiter de la vie tout seul.
Tout ce temps — voilà quelques mois —
Je cherche des mots pour t’envoûter.
Je t’aperçois aux lieux ordinaires,
Et tous ces lieux, je les ai transformés en lieux sacrés.
Si je n’avais pas voulu écrire
Si je n’avais pas vu la brume d’or devant mes yeux
Si je n’avais pas voulu noter ton nom dans mon calepin de rêves,
Je ne me serais jamais souvenu, peut-être, de cette nuit.
Comme l’on ne se souvient pas des parties du corps
Jusqu’à ce qu’on nous le rappelle par la douleur.
Je reconnais maintenant le moyen dont
Nous avons accompagné une soirée paisible
Les diverses lumières dansaient sur le boulevard.
C’était le mois de juillet,
C’était au moment où je me suis débarassé de l’anathème
De profiter de la vie tout seul.
Traduction: Milan Barac