Lidija Nikčević: Stanica

Great Britain

Des lieux ordinaires, des lieux sacrés

C’était le mois de juillet,

C’était une soirée qui ne m’était pas favorable.

Je travaillais sur quelques poèmes

En ne présumant pas que le contenu

Va vite changer.

Jamais contant de ce qui est fait

J’attendais le moment qui dépassera tout.

Tu ignorais que dans ma conscience

Nos certains moments communs

Etaient devenus mythiques.

J’ai entendu ton chuchotement,

Tu évoquais des moments que je méconnaissais.

J’ai laissé derrière moi l’anathème

De profiter de la vie tout seul.

Tout ce temps — voilà quelques mois —

Je cherche des mots pour t’envoûter.

Je t’aperçois aux lieux ordinaires,

Et tous ces lieux, je les ai transformés en lieux sacrés.

 

Si je n’avais pas voulu écrire

Si je n’avais pas vu la brume d’or devant mes yeux

Si je n’avais pas voulu noter ton nom dans mon calepin de rêves,

Je ne me serais jamais souvenu, peut-être, de cette nuit.

Comme l’on ne se souvient pas des parties du corps

Jusqu’à ce qu’on nous le rappelle par la douleur.

Je reconnais maintenant le moyen dont

Nous avons accompagné une soirée paisible

Les diverses lumières dansaient sur le boulevard.

C’était le mois de juillet,

C’était au moment où je me suis débarassé de l’anathème

De profiter de la vie tout seul.

Traduction: Milan Barac

FRANCE

Des lieux ordinaires, des lieux sacrés

C’était le mois de juillet,

C’était une soirée qui ne m’était pas favorable.

Je travaillais sur quelques poèmes

En ne présumant pas que le contenu

Va vite changer.

Jamais contant de ce qui est fait

J’attendais le moment qui dépassera tout.

Tu ignorais que dans ma conscience

Nos certains moments communs

Etaient devenus mythiques.

J’ai entendu ton chuchotement,

Tu évoquais des moments que je méconnaissais.

J’ai laissé derrière moi l’anathème

De profiter de la vie tout seul.

Tout ce temps — voilà quelques mois —

Je cherche des mots pour t’envoûter.

Je t’aperçois aux lieux ordinaires,

Et tous ces lieux, je les ai transformés en lieux sacrés.

 

Si je n’avais pas voulu écrire

Si je n’avais pas vu la brume d’or devant mes yeux

Si je n’avais pas voulu noter ton nom dans mon calepin de rêves,

Je ne me serais jamais souvenu, peut-être, de cette nuit.

Comme l’on ne se souvient pas des parties du corps

Jusqu’à ce qu’on nous le rappelle par la douleur.

Je reconnais maintenant le moyen dont

Nous avons accompagné une soirée paisible

Les diverses lumières dansaient sur le boulevard.

C’était le mois de juillet,

C’était au moment où je me suis débarassé de l’anathème

De profiter de la vie tout seul.

Traduction: Milan Barac

Germany

Des lieux ordinaires, des lieux sacrés

C’était le mois de juillet,

C’était une soirée qui ne m’était pas favorable.

Je travaillais sur quelques poèmes

En ne présumant pas que le contenu

Va vite changer.

Jamais contant de ce qui est fait

J’attendais le moment qui dépassera tout.

Tu ignorais que dans ma conscience

Nos certains moments communs

Etaient devenus mythiques.

J’ai entendu ton chuchotement,

Tu évoquais des moments que je méconnaissais.

J’ai laissé derrière moi l’anathème

De profiter de la vie tout seul.

Tout ce temps — voilà quelques mois —

Je cherche des mots pour t’envoûter.

Je t’aperçois aux lieux ordinaires,

Et tous ces lieux, je les ai transformés en lieux sacrés.

 

Si je n’avais pas voulu écrire

Si je n’avais pas vu la brume d’or devant mes yeux

Si je n’avais pas voulu noter ton nom dans mon calepin de rêves,

Je ne me serais jamais souvenu, peut-être, de cette nuit.

Comme l’on ne se souvient pas des parties du corps

Jusqu’à ce qu’on nous le rappelle par la douleur.

Je reconnais maintenant le moyen dont

Nous avons accompagné une soirée paisible

Les diverses lumières dansaient sur le boulevard.

C’était le mois de juillet,

C’était au moment où je me suis débarassé de l’anathème

De profiter de la vie tout seul.

Traduction: Milan Barac

Italia

Des lieux ordinaires, des lieux sacrés

C’était le mois de juillet,

C’était une soirée qui ne m’était pas favorable.

Je travaillais sur quelques poèmes

En ne présumant pas que le contenu

Va vite changer.

Jamais contant de ce qui est fait

J’attendais le moment qui dépassera tout.

Tu ignorais que dans ma conscience

Nos certains moments communs

Etaient devenus mythiques.

J’ai entendu ton chuchotement,

Tu évoquais des moments que je méconnaissais.

J’ai laissé derrière moi l’anathème

De profiter de la vie tout seul.

Tout ce temps — voilà quelques mois —

Je cherche des mots pour t’envoûter.

Je t’aperçois aux lieux ordinaires,

Et tous ces lieux, je les ai transformés en lieux sacrés.

 

Si je n’avais pas voulu écrire

Si je n’avais pas vu la brume d’or devant mes yeux

Si je n’avais pas voulu noter ton nom dans mon calepin de rêves,

Je ne me serais jamais souvenu, peut-être, de cette nuit.

Comme l’on ne se souvient pas des parties du corps

Jusqu’à ce qu’on nous le rappelle par la douleur.

Je reconnais maintenant le moyen dont

Nous avons accompagné une soirée paisible

Les diverses lumières dansaient sur le boulevard.

C’était le mois de juillet,

C’était au moment où je me suis débarassé de l’anathème

De profiter de la vie tout seul.

Traduction: Milan Barac

Albania

Des lieux ordinaires, des lieux sacrés

C’était le mois de juillet,

C’était une soirée qui ne m’était pas favorable.

Je travaillais sur quelques poèmes

En ne présumant pas que le contenu

Va vite changer.

Jamais contant de ce qui est fait

J’attendais le moment qui dépassera tout.

Tu ignorais que dans ma conscience

Nos certains moments communs

Etaient devenus mythiques.

J’ai entendu ton chuchotement,

Tu évoquais des moments que je méconnaissais.

J’ai laissé derrière moi l’anathème

De profiter de la vie tout seul.

Tout ce temps — voilà quelques mois —

Je cherche des mots pour t’envoûter.

Je t’aperçois aux lieux ordinaires,

Et tous ces lieux, je les ai transformés en lieux sacrés.

 

Si je n’avais pas voulu écrire

Si je n’avais pas vu la brume d’or devant mes yeux

Si je n’avais pas voulu noter ton nom dans mon calepin de rêves,

Je ne me serais jamais souvenu, peut-être, de cette nuit.

Comme l’on ne se souvient pas des parties du corps

Jusqu’à ce qu’on nous le rappelle par la douleur.

Je reconnais maintenant le moyen dont

Nous avons accompagné une soirée paisible

Les diverses lumières dansaient sur le boulevard.

C’était le mois de juillet,

C’était au moment où je me suis débarassé de l’anathème

De profiter de la vie tout seul.

Traduction: Milan Barac

Poland

Des lieux ordinaires, des lieux sacrés

C’était le mois de juillet,

C’était une soirée qui ne m’était pas favorable.

Je travaillais sur quelques poèmes

En ne présumant pas que le contenu

Va vite changer.

Jamais contant de ce qui est fait

J’attendais le moment qui dépassera tout.

Tu ignorais que dans ma conscience

Nos certains moments communs

Etaient devenus mythiques.

J’ai entendu ton chuchotement,

Tu évoquais des moments que je méconnaissais.

J’ai laissé derrière moi l’anathème

De profiter de la vie tout seul.

Tout ce temps — voilà quelques mois —

Je cherche des mots pour t’envoûter.

Je t’aperçois aux lieux ordinaires,

Et tous ces lieux, je les ai transformés en lieux sacrés.

 

Si je n’avais pas voulu écrire

Si je n’avais pas vu la brume d’or devant mes yeux

Si je n’avais pas voulu noter ton nom dans mon calepin de rêves,

Je ne me serais jamais souvenu, peut-être, de cette nuit.

Comme l’on ne se souvient pas des parties du corps

Jusqu’à ce qu’on nous le rappelle par la douleur.

Je reconnais maintenant le moyen dont

Nous avons accompagné une soirée paisible

Les diverses lumières dansaient sur le boulevard.

C’était le mois de juillet,

C’était au moment où je me suis débarassé de l’anathème

De profiter de la vie tout seul.

Traduction: Milan Barac

Russia

Des lieux ordinaires, des lieux sacrés

C’était le mois de juillet,

C’était une soirée qui ne m’était pas favorable.

Je travaillais sur quelques poèmes

En ne présumant pas que le contenu

Va vite changer.

Jamais contant de ce qui est fait

J’attendais le moment qui dépassera tout.

Tu ignorais que dans ma conscience

Nos certains moments communs

Etaient devenus mythiques.

J’ai entendu ton chuchotement,

Tu évoquais des moments que je méconnaissais.

J’ai laissé derrière moi l’anathème

De profiter de la vie tout seul.

Tout ce temps — voilà quelques mois —

Je cherche des mots pour t’envoûter.

Je t’aperçois aux lieux ordinaires,

Et tous ces lieux, je les ai transformés en lieux sacrés.

 

Si je n’avais pas voulu écrire

Si je n’avais pas vu la brume d’or devant mes yeux

Si je n’avais pas voulu noter ton nom dans mon calepin de rêves,

Je ne me serais jamais souvenu, peut-être, de cette nuit.

Comme l’on ne se souvient pas des parties du corps

Jusqu’à ce qu’on nous le rappelle par la douleur.

Je reconnais maintenant le moyen dont

Nous avons accompagné une soirée paisible

Les diverses lumières dansaient sur le boulevard.

C’était le mois de juillet,

C’était au moment où je me suis débarassé de l’anathème

De profiter de la vie tout seul.

Traduction: Milan Barac

Slovakia

Des lieux ordinaires, des lieux sacrés

C’était le mois de juillet,

C’était une soirée qui ne m’était pas favorable.

Je travaillais sur quelques poèmes

En ne présumant pas que le contenu

Va vite changer.

Jamais contant de ce qui est fait

J’attendais le moment qui dépassera tout.

Tu ignorais que dans ma conscience

Nos certains moments communs

Etaient devenus mythiques.

J’ai entendu ton chuchotement,

Tu évoquais des moments que je méconnaissais.

J’ai laissé derrière moi l’anathème

De profiter de la vie tout seul.

Tout ce temps — voilà quelques mois —

Je cherche des mots pour t’envoûter.

Je t’aperçois aux lieux ordinaires,

Et tous ces lieux, je les ai transformés en lieux sacrés.

 

Si je n’avais pas voulu écrire

Si je n’avais pas vu la brume d’or devant mes yeux

Si je n’avais pas voulu noter ton nom dans mon calepin de rêves,

Je ne me serais jamais souvenu, peut-être, de cette nuit.

Comme l’on ne se souvient pas des parties du corps

Jusqu’à ce qu’on nous le rappelle par la douleur.

Je reconnais maintenant le moyen dont

Nous avons accompagné une soirée paisible

Les diverses lumières dansaient sur le boulevard.

C’était le mois de juillet,

C’était au moment où je me suis débarassé de l’anathème

De profiter de la vie tout seul.

Traduction: Milan Barac

Sweden

Des lieux ordinaires, des lieux sacrés

C’était le mois de juillet,

C’était une soirée qui ne m’était pas favorable.

Je travaillais sur quelques poèmes

En ne présumant pas que le contenu

Va vite changer.

Jamais contant de ce qui est fait

J’attendais le moment qui dépassera tout.

Tu ignorais que dans ma conscience

Nos certains moments communs

Etaient devenus mythiques.

J’ai entendu ton chuchotement,

Tu évoquais des moments que je méconnaissais.

J’ai laissé derrière moi l’anathème

De profiter de la vie tout seul.

Tout ce temps — voilà quelques mois —

Je cherche des mots pour t’envoûter.

Je t’aperçois aux lieux ordinaires,

Et tous ces lieux, je les ai transformés en lieux sacrés.

 

Si je n’avais pas voulu écrire

Si je n’avais pas vu la brume d’or devant mes yeux

Si je n’avais pas voulu noter ton nom dans mon calepin de rêves,

Je ne me serais jamais souvenu, peut-être, de cette nuit.

Comme l’on ne se souvient pas des parties du corps

Jusqu’à ce qu’on nous le rappelle par la douleur.

Je reconnais maintenant le moyen dont

Nous avons accompagné une soirée paisible

Les diverses lumières dansaient sur le boulevard.

C’était le mois de juillet,

C’était au moment où je me suis débarassé de l’anathème

De profiter de la vie tout seul.

Traduction: Milan Barac

Slovenija

Des lieux ordinaires, des lieux sacrés

C’était le mois de juillet,

C’était une soirée qui ne m’était pas favorable.

Je travaillais sur quelques poèmes

En ne présumant pas que le contenu

Va vite changer.

Jamais contant de ce qui est fait

J’attendais le moment qui dépassera tout.

Tu ignorais que dans ma conscience

Nos certains moments communs

Etaient devenus mythiques.

J’ai entendu ton chuchotement,

Tu évoquais des moments que je méconnaissais.

J’ai laissé derrière moi l’anathème

De profiter de la vie tout seul.

Tout ce temps — voilà quelques mois —

Je cherche des mots pour t’envoûter.

Je t’aperçois aux lieux ordinaires,

Et tous ces lieux, je les ai transformés en lieux sacrés.

 

Si je n’avais pas voulu écrire

Si je n’avais pas vu la brume d’or devant mes yeux

Si je n’avais pas voulu noter ton nom dans mon calepin de rêves,

Je ne me serais jamais souvenu, peut-être, de cette nuit.

Comme l’on ne se souvient pas des parties du corps

Jusqu’à ce qu’on nous le rappelle par la douleur.

Je reconnais maintenant le moyen dont

Nous avons accompagné une soirée paisible

Les diverses lumières dansaient sur le boulevard.

C’était le mois de juillet,

C’était au moment où je me suis débarassé de l’anathème

De profiter de la vie tout seul.

Traduction: Milan Barac

North Macedonia

Des lieux ordinaires, des lieux sacrés

C’était le mois de juillet,

C’était une soirée qui ne m’était pas favorable.

Je travaillais sur quelques poèmes

En ne présumant pas que le contenu

Va vite changer.

Jamais contant de ce qui est fait

J’attendais le moment qui dépassera tout.

Tu ignorais que dans ma conscience

Nos certains moments communs

Etaient devenus mythiques.

J’ai entendu ton chuchotement,

Tu évoquais des moments que je méconnaissais.

J’ai laissé derrière moi l’anathème

De profiter de la vie tout seul.

Tout ce temps — voilà quelques mois —

Je cherche des mots pour t’envoûter.

Je t’aperçois aux lieux ordinaires,

Et tous ces lieux, je les ai transformés en lieux sacrés.

 

Si je n’avais pas voulu écrire

Si je n’avais pas vu la brume d’or devant mes yeux

Si je n’avais pas voulu noter ton nom dans mon calepin de rêves,

Je ne me serais jamais souvenu, peut-être, de cette nuit.

Comme l’on ne se souvient pas des parties du corps

Jusqu’à ce qu’on nous le rappelle par la douleur.

Je reconnais maintenant le moyen dont

Nous avons accompagné une soirée paisible

Les diverses lumières dansaient sur le boulevard.

C’était le mois de juillet,

C’était au moment où je me suis débarassé de l’anathème

De profiter de la vie tout seul.

Traduction: Milan Barac